Série LAdultère : (Partie 3) Valérie Avais Mis Longtemps Mais Cela En Valait La Peine.
Je mappelle Valérie, pour faire suite aux récits de Barbara, je me lance également dans mon histoire dadultère car je pense que nous ne sommes pas les seules à vouloir tromper notre mari, tout au moins en pensées. Cest probablement un fantasme pour certaines femmes qui nosent pas franchir le cap. Je profite de la plume de lauteur « Perruche » pour raconter mon histoire.
Je suis une femme qui vient d'avoir 42 ans et 16 ans de vie commune. J'ai fait la connaissance il y a huit ans, d'un homme bien plus âgé que moi. Je suis professeur de mathématique dans un CFA du BTP du sud de la France. Je venais dêtre embauchée et mon accompagnateur, dès les premiers jours avait en charge de me faire visiter létablissement. De la cantine à ladministration en passant par le CDR, les cours denseignement général et tous les ateliers (électricité, plomberie, maçonnerie, plâtrerie, carrelage, peinture, menuiserie et ferronnerie) et le gymnase. Il mavait fallu deux jours en entier pour cette visite et faire connaissance avec lensemble du personnel et je nétais pas encore familiarisée avec tout le monde. Heureusement que la machine à café, dans la salle de repos des profs rapprochait un peu tous les enseignants, aussi bien techniques que les professeurs denseignement général.
Ce fut dans cette salle des profs que je suis tombée en admiration de Roland qui avait 52 ans, alors que je nen avais que 34 à lépoque. Il était formateur de maçonnerie et déjà lors de la visite de son atelier, javais bu ses paroles, cétait un bel homme, marié, très charismatique. Sans penser à mal, nous nous sommes rapprochés, à chaque occasion nous étions ensemble. À la cantine, au centre de ressource ou à la machine à café. Tous les jours nous étions heureux de nous faire la bise et de nous dire des gentillesses, le courant passait bien, nous avions de vrais atomes crochus.
Très vite notre rapprochement devint plus intense, jétais joyeuse de passer autant de temps avec lui.
Pendant les périodes de vacances, il me manquait. Roland me rassurait, me donnait laffection quil me manquait sans doute. Je métais surprise un matin en lui disant bonjour, de lui faire une bise sur la commissure de ses lèvres. Cette fois-là, je métais retenue car cétait un vrai baiser que je voulais lui faire, mais à la dernière minute, je navais pas osé.
Lorsquil membrassait les matins ou les soirs, sa main se posait sur ma hanche, jen frissonnais, ce grand sentimental me faisait un bien énorme. Mais malheureusement, de nombreuses mauvaises langues disaient, deux années après mon arrivée que nous baisions ensemble. Cétait vrai que notre comportement nétait pas ment celui qui aurait dû lêtre, entre deux collègues homme et femme, jen suis consciente aujourdhui. Jétais, bien entendu, déjà mariée depuis huit ans et javais une petite fille de six ans.
Suite à ses rumeurs colportées, je connus des difficultés avec certaines de mes collègues dans létablissement. Tant que cela restait au sein du CFA, nous nous en moquions, nous savions que rien de sexuel ne se passerait entre nous, Roland remplaçait en quelque sorte, le père que javais perdu avant de me faire embaucher et mapportait une certaine tendresse et javoue que javais quelques sentiments envers lui. Mais ces ragots firent un petit séisme dans mon couple, mon mari que jaimais plus que tout, même aujourdhui, avait entendu parler dans son dos, lors dune porte ouverte :
Tiens voilà le cocu. Venant de la part de deux de mes collègues.
Il se retourna, regarda autour de lui, il ne pouvait sagir que de lui, il était seul à leur côté.
Pour remplacer notre séparation physique, nous avions pris lhabitude de nous parler via les messages privés sur Facebook. Roland avait beaucoup dhumour, il me faisait souvent des blagues puis après mavoir envoyée une histoire un peu trop cochonne, je ne me suis pas gênée de lui en envoyer une autre. À partir de là, nos échanges furent plutôt sulfureux. Pendant ces trois mois, nous nous étions encore plus rapprochés. Il mavait remonté le moral.
Le fait de lavoir revu à la reprise, me fit un bien fou, je me sentais revivre. Ce que je regrettais, cétait ses messages sur Facebook, il avait supprimé son compte suite à un piratage. Et nous ne pouvions plus nous afficher comme au début de notre rencontre. Mais ces petites bises et ses mains un peu plus baladeuses me fournissait beaucoup de plaisir. Pendant les deux années suivantes, nous avions pris notre rythme. Le petit baiser journalier sur les commissures de nos lèvres suffisait à chacun, enfin cétait ce que je me disais pour me rassurer. Jusquau jour où, nous devions passer à la médecine du travail dans leur car aménagé et stationné à quelques kilomètres du CFA.
Le hasard des noms de famille, fit que nous étions convoqués lun après lautre. Jétais montée dans sa voiture pour nous rendre chez le médecin du travail. Il fut le premier à passer, il mattendait debout contre la portière de sa voiture. Ce matin-là, je métais disputé avec mon mari, notre était en cause.
Lorsque je repris mes esprits, il était trop tard, Roland lavait compris, il me dit tout de suite, gentiment :
Ce nest rien Val, joublie ton moment dégarement.
Javais tellement envie, excuse-moi Roland. Je ne le ferai plus.
Comment ? Jespère bien que ce ne sera pas le dernier et que tu iras plus loin. Me dit-il en riant.
Lavait-il dit en riant ? Ou le pensait-il vraiment ? Je penchai sur la deuxième solution, car sur le chemin du retour, sa main sétait posée sur ma cuisse et je ne lavais pas empêché de le faire. Je savais que nous allions passer à lacte, nous avions ce besoin, maintenant daller un peu plus loin dans cette idylle qui durait depuis plus de cinq ans. Moi qui me disais que je ne tromperais jamais mon mari, que cela ne m'arriverait pas, jétais sur le point de le faire et jen avais tellement envie. Je désirais du piment à ma vie, jétais très attirée physiquement mais je n'avais pas encore osé franchir le pas. Il allait partir en retraite dici peu, il fallait nous nous rencontrions ailleurs pour passer un après-midi entier ensemble.
Malgré ma grande timidité, jétais très à laise avec lui, je ne me reconnais pas car je lui envoyais des textos enflammés régulièrement et que dire de ses réponses, il jouait le jeu, nous vivions une relation très intime virtuellement. Je lui avais même envoyé une photo de moi presque nue, sans penser que sa femme pouvait intercepter ce SMS. Il men fit dailleurs la remarque. Nous ne pouvions plus reculer, il était bien trop tard.
Pendant la semaine de vacances de Pâques, nous avions réservé une chambre dans une auberge à plus de trente kilomètres de notre domicile où personne ne nous connaissait. Nous avions déjeuner et nous avons fait une sieste crapuleuse. Cela avait commencé en voiture, je métais vêtue pour cette occasion dune jupe courte, des bas autofixants, dun chemisier blanc à la limite de la transparence. Sa main sétait vite retrouvée sur ma cuisse que javais rapprochée en écartant les jambes. La mienne aussi se posait sur son entrejambe, lorsque la route était sûre.
Notre excitation était déjà bien élevée. Pendant tout le repas, nous avions fait comme si nous vivions ensemble, nous nous sommes considérés comme deux amoureux, les personnes présentes, le pensaient toutes. Nos mains ne se séparaient que lorsque nous nous régalions des plats régionaux. Caresses, petits baisers et jeu de jambes sous la table faisaient partie intégrante du menu.
Dans cette chambre, je connus tout son savoir-faire, ses caresses me firent jouir plus dune fois, il mavait apporté sensualité, tendresse et amour. Par contre, je lui avais fait passer un après-midi denfer, je métais libérée et transformée en une amazone morte de faim, javais comme Barbara dans le récit précédent fait toutes des choses que je ne me permettais pas de faire avec mon mari. Je fus un vrai fauve (pour ne pas dire chienne), javais même prévu de lui faire prendre une petite gélule bleue.
Roland fut largement à la hauteur de lévénement, beaucoup plus que je lavais imaginé. Mes orgasmes furent beaucoup plus violents quavec lhomme qui partageait ma vie depuis si longtemps. Ce jour-là, après avoir éjaculé dans sa capote, il venait de tenir plus de vingt-cinq minutes à me prendre dans plusieurs positions, je lui avais fait tourner la tête. Il retomba à plat dos sur le lit, je me suis allongée à côté de lui javais la tête sur son torse velu. Je vis quil ne débandait pas, ce fut là que lidée métait venue, je ne saurais dire pourquoi. Je me suis penchée sur sa queue, jai enlevé son préservatif et javais léché tout le sperme quil avait sur sa verge. Javais levé les yeux vers lui et lui dit :
Encule moi Roland.
Quest-ce quil te prend Val, je ne pensais pas que tu étais si
Oui ! Dis-le salope oui ! avec toi jen envie de me montrer ainsi.
Il mavait retournée, avait penché son visage sur mon entrejambe, il ne pensait pas que jétais vierge à ce niveau, après quelques coups de langue et un doigté en bonne et due forme dans mon anus. Il était prêt, je lui ai dit :
Défonce-moi comme ça.
Tu en veux ? et bien je vais ten donner.
Fais-moi jouir, amuse-toi.
Quel con jai fait dattendre aussi longtemps.
Il mavait sodomisé. Je me suis retenue, au début jai crier et je my suis habituée lorsquil était entré complétement. Il mavait prise pendant dix minutes à aller et venir dans mon rectum, javais pris mon orgasme mais il navait pu gicler sa semence mais il fut doux. Après avoir pris un peu de repos, je lavais remis en forme et javais vraiment trouvé beaucoup de plaisir à refaire une nouvelle fois lamour avant de repartir.
La dernière année avant son départ en retraite, nous avions pris lhabitude de nous voir les mercredis après les cours. Nous quittions vers 15 heures tous les deux. Nous partions séparément afin de ne pas éveiller les soupçons et nous nous retrouvions dans cette chambre dhôtel, où nous vivions de grands moments damour et de sexe. Ce fut le seul homme qui mavait sodomisé et avec lui, après de nombreux essais dans ma jeunesse, javais vraiment apprécié. La sodomie mapportait tant de plaisir que je la pratique aujourdhui avec mon homme qui se régale.
Ce fut si magique que je voudrais que cette aventure se poursuive mais malheureusement, Roland était actuellement en retraite et je navais de ses nouvelles que de temps en temps par téléphone. Il avait quitté la région, avec son épouse pour vivre leurs dernières années dans le Lubéron.
Javais succombé à la tentation et alors ? Les couples qui se disent amoureux comme au premier jour mentent surement. La vie est vraiment trop courte pour se poser des questions. C'est bien inutile car aujourdhui, je ne regrette rien et mon mari ne le saura jamais.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous Valérie.
Si comme Valérie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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